Des débats houleux avaient animé le tribunal il y a quelques semaines. Des associations de consommateurs et la DGCCRF reprochaient au cablo-opérateur, ainsi qu'à ses responsables (Philippe Besnier et Jack Mikaloff), des actes de publicité mensongère, vente forcée, tromperie sur la nature d'une prestation, démarchage sans contrat, et abus de faiblesse.
D'après le journal Le Parisien, le tribunal de Meaux a justifié le report du verdict en affirmant que des "vérifications supplémentaires ont été nécessaires et que la rédaction d'un tel jugement est longue".