Il s'agira donc bien du processus classique suivant l'acquisition d'un groupe, et certainement pas d'une fusion entre égaux. 800 postes redondants seraient dans le collimateur de la direction, des postes qui concerneraient essentiellement les fonctions "support", qu'il s'agisse d'informatique, de ressources humaines ou de secrétariat.
Un redéploiement au sein de SFR sera proposé pour 350 postes, mais 450 salariés de Neuf devraient partir en départ volontaire, selon les prévisions du groupe. Aussi important que ce chiffre puisse paraître, il ne faut pas surestimer l'impact de ce choc : son envergure ne représente, après tout, que 5% des 9000 salariés du nouveau groupe SFR- Neuf.