La direction de la BNF a décidé d'appliquer le principe de précaution, et de ne plus exposer son personnel et les visiteurs à d'éventuels risques liés l’exposition aux ondes électromagnétiques.
Le syndicat FSU de la Bibliothèque nationale de France serait à l'origine de la demande. Ce dernier a fondé son argumentation en s'appuyant sur la littérature scientifique et notamment sur :
- l'étude américaine "Lee & Al" qui prouverait les effets génotoxiques des ondes de 2,4 Ghz (fréquence du Wi-Fi)
- le rapport de BioInitiative rédigé par 14 scientifiques internationaux qui conclut à la révision des normes réglementaires sur les ondes électromagnétiques
- une étude de l’université de Clermont-Ferrand